Assis au bord de ma vie,
Sur les rives des larmes,
Désespéré de découvrir ses charmes,
C’est une pensée pour mon ami,
une pensée pour un fils que je n’ai jamais eu,
A la faveur de l'été,
les amants s'empressent de s'aimer,
Une époque faite de peines,
Tourne le bouton pour l'ignorer,
Ici le monde semble lui appartenir,
C'est pourtant là qu'est son avenir,