Assis au bord de ma vie,
Sur les rives des larmes,
Désespéré de découvrir ses charmes,
A coeur vaillant ne suffit pas l'envie,
Un jour après la vie,
Au détour du hasard,
un ange me ravit,
A coeur vaillant il n'est pas tard,
De retour à la vie,
Depuis le clair obscur de ses yeux,
De son être merveilleux,
A coeur aimant je la vis,
Assis au bord de ta vie,
J'entrevois l'éternité,
Je suis revenu à ta vie,
D'une déconcertante facilité,
Un jour après nos vies,
Nos coeurs amants ne peuvent se quitter...
C’est une pensée pour mon ami,
une pensée pour un fils que je n’ai jamais eu,
un regret sur mon ami que je n’ai plus,
C’est le sens de la vie, c’est admis,
Depuis la piste aux étoiles,
faisant la lumière sur mes larmes,
se reflétants sous le voile,
des peines de mon âme,
C’est une pensée pour une idée,
une idée tant éclairée,
sur mon chemin, ma destinée,
la lueur, au loin, envolée,
Les poésies dans les souvenirs,
se lisent sur le papier froissé,
de nos joies passées,
sans l’espoir de voir revenir,
C’est une pensée pour un aïeul,
m’abandonnant sans que je veuille,
me laissant toujours plus seul,
escamotant mon bonheur sous le linceul,
J’ai eu beau te retenir,
ta décision était de partir,
je ne souffre pas, je vie,
retrouve moi à l’envie,
je ne te vois pas,
mais voudrais être dans tes pas,
C’est une pensée pour mon coeur,
un coeur traversé par les lames,
désarmé par plus de larmes,
à chaque pensée il se meurt,
Au nom du père, du fils, de mon amie,
si il est amour, je suis la peine,
Au nom du père, du fils, de mon amie,
si la grâce est rendue ce sera par mes veines.
les amants s'empressent de s'aimer,
ou les romances sont contées,
dans l'espoir de l'idylle escomptée.
A la lumière étoilée,
tant de baisés volés,
restant à jamais gravés,
comme des instants rêvés.
Dans l'instant éternel,
jamais ne mesure l'éphémère,
d'une histoire de bord de mer,
s'appropriant un instant solennel,
A mesure que tombe le solstice,
les yeux se remplissent,
des souvenirs passés,
de ces instants empressés.
1. lemoifemelle le 20-06-2011 à 19:23:39
C'est beau !! (et oui, un commentaire de fille qui vit dans le monde des bisounours)
Une époque faite de peines,
Tourne le bouton pour l'ignorer,
Et ferme les yeux pour ne pas pleurer...
Comme la peine est chose humaine.
Pourtant attentif, j'écoute,
mais n'entend rien,
Aucun espoir pour taire mes doutes,
Je n'attend rien.
Une époque faite de haines,
Ferme les poings pour lutter,
Et reviens aux bien pensants pour ne pas déraper...
Comme la haine est bien pérenne,
Pourtant curieux, je regarde,
mais ne vois rien,
Aucun brave pour assurer la garde,
Je n'espère rien.
D'un futur déjà révolu,
S'échappe le fantasme d'espérer,
puis s'abandonne à la raison pour pleurer...
Comme mon coeur se dilue...
Ici le monde semble lui appartenir,
C'est pourtant là qu'est son avenir,
Entre ces murs résolu à exister,
Il a le choix mais rêve de liberté,
A la fin du parcours il prétendra,
Avoir le choix dans la corde qui le pendra,
Illusion de liberté dans les tours de cour,
Heureux sans savoir si il est fait pour,
Il a les clefs d'une illusion de liberté,
Mais quel prisonnier n'a jamais ambitionné,
D'attendre son geôlier et d'en profiter,
Pour condamner ce lache missionné,
A sa prison il a beau s'opposer,
Résistant à sa condition d'aliéné,
Mais jamais la clef il ne l'aura osée,
En dépis des regrets de toutes ces années,
Se résignant à sa condition,
Il ne pourra se soustraire à sa soumission,
Sans aucune autre forme de procession,
Qu'au dernier souffle d'une vie sans émotion
1. a_rlequin le 10-10-2009 à 13:11:57 (site)
La liberté est la soumission volontaire à des lois que l'on considère personnellement comme juste.Il n'existe pas de monde sans loi.Même chez les plus rebelles.Puis il y a les lois que l'on subit à contre coeur ....Mais sont elles toutes injustes?Ne sont elles pas parfois méritées? A voir !
Bon week-end
2. cellia25 le 23-10-2009 à 18:12:03 (site)
Mais ne vivons-nous pas dans une illusion de liberté !
Beau texte, interpellant...
Bon weekend à toi
Cellia,
3. Cellia le 02-01-2010 à 10:40:13 (site)
Que cette Nouvelle Année t'apporte :
2 fois plus de bonheur
0 souci
1 gros bisou
0 problème
Mes meilleurs vœux...
Cellia,
Arrêta son pas sur cet endroit,
Et eu cette inspiration mantique,
Qu'ici elle enfentera un Roi,
Il sauvera depuis sa colline,
Une terre qui lui tend les bras,
Par son influence divine,
Des fléaux ou elle sombra,
Ce Lyon en était bien le Roi,
De ce lieu passant les époques,
Dans le secret d'un cocon de soie,
Ne pliant jamais sous l'estoc,
Depuis la colline du labeur,
Ses gens portent encore en leur coeur,
Dans le discret mystère de leur bonheur,
Une résistante idée de l'honneur,
Ce Lyon j'en suis fier,
Hors les heurts, hors les guerres,
Ce Roi qui pris le maquis,
Ou un jour je naquis.
1. Marilyne le 05-10-2009 à 17:11:41
Encore un texte qui te ressemble: la louve, le lyon, l'honneur, la fierté
2. cellia25 le 06-10-2009 à 14:11:55
Bien joli poème !
les mots coulent agréablement..
Bonne soirée
Cellia,
Marie est une petite fille,
Si frêle et si fragile,
Marie vie dans la souffrance,
c'est une enfant du silence,
Marie à l'âge de l'innocence,
Quand les autres aprennent la confiance,
Marie s'isole dans la méfiance,
C'est une enfant du silence,
Marie est une petite fille,
Si frêle et si fragile,
Bercée d'èspérances,
Marie est une enfant du silence,
Elle supplie le soleil de ne pas aller se coucher,
Car Marie prie pour ne pas être embrassée,
Et ne pas encore payer son innocence,
Marie est une enfant du silence,
Marie n'a jamais pu vivre son innocence,
Recluse dans ses confidences,
Elle n'aura jamais plus d'enfance,
Marie est une enfant du silence,
Marie est désormais seule,
Elle qui n'avait pour amour que leur violence,
Bordée par le sang pour unique linceul,
Marie était une enfant du silence.
1. arlequin le 04-10-2009 à 13:55:24 (site)
Ce poème avec des mots justes dépeint bien la solitude et la souffrance de cet enfant qui ne sait à qui se confier.
Bon dimanche
2. maelie le 04-10-2009 à 15:28:46 (site)
bonsoir , ton poème reflète tout à fait la souffrance et la solitude ; bravo à toi ; je te souhaite une bonne soirée amitiés
3. Marilyne le 04-10-2009 à 18:27:51
Une version de notre époque de "la petite fille aux allumettes". Des mots qu'on ne souhaiteraient plus entendre et qui pourtant existent bien chaque jour.
4. SylvainGuilhem le 20-06-2011 à 18:49:58
Ooh comme ça irait superbement bien en le chantant...
6. SylvainGuilhem le 22-06-2011 à 12:05:56
Huhuhu.. Non pas moi, mais cela sonnait bien a mes oreilles...
Ce n'est pas du beaudelaire,
Ce n'est pas les gnossiennes,
mais cette note est la mienne,
Le besoin n'est pas un poème,
mais l'idée est la même,
Portes ouvertes dans une tête,
Se foutant d'être Bohémienne,
ou la place est à la fête,
et je t'invites à la mienne,
Ce n'est pas du prévert,
et toujours pas l'ère,
N'ayant qu'une prétention,
Attirer ton attention,
Sur les mots à l'unisson,
Virevoltant sur une chanson,
Un chant pour une joie,
Une idée du bonheur,
Un hymne à la voix,
Ou l'espoir est à l'honneur,
J'ambitionne pour toi,
De ne garder que de moi,
La raisonnable follie,
D'une vie à la Fellini.
Il m'aura fallu d'un Univers,
pour apprécier le travail du père,
Il m'aura fallu d'un soleil,
pour que je m'en émerveille,
Il m'aura fallu d'un monde,
pour voir les espoirs qui s'y fondent,
Il m'aura fallu d'une terre,
pour mesurer l'éphémère,
Il n'aura fallu d'un être,
pour voir tout ça disparaître.
1. cellia25 le 29-09-2009 à 20:35:03 (site)
Bienvenue sur vefblog !
Superbe espace, comme je les aime...je t'ai donc ajouté dans mes favoris...
A très bientôt !
Cellia,
Une étoile est venue là pour mourrir,
Elle est lasse et attend que le ciel l'emporte,
Sans craintes ni désespoirs à nourrir,
Elle quitta la piste et fermit la porte,
Dans mon rêve à toi,
Mon étoile à froid,
Dans le néant qui s'en suit,
Un ange perdit une aile,
Dans sa fin à elle, il tomba du ciel,
Il tomba sans plus de bruit,
Dans mon rêve à toi,
Mon étoile à froid,
Dans sa fin à elle,
Un ange perdit une elle,
Lorsque la peine Noya sa vie,
La petite fille se tourna vers la nuit,
Mais son étoile était partie,
Un ange avait fuit,
Dans mon rêve à toi,
Mon étoile à froid,
Dans sa fin à elle,
Un ange perdit une aile
et un coeur perdit l'envie
de voir un monde revenir à la vie.
1. photo-montage le 29-09-2009 à 06:42:06 (site)
Bonjour,
Si cela vous interesse je fais des montages photos a partir de vos photos perso,et si l'envie vous dit, vous pouvez faire un p'tit tour sur mon blog...
Bonne journée...A bientot..
Ne pleure pas la perte de ton innocence,
Pleure de ne l'avoir jamais possédée,
Fait face à ton inconscience,
Ta soif de liberté n'est pas méritée,
Ne pleure pas à la vue de tes espoirs dissolus,
Prie pour les armes, glisse sur les lames,
Danse sur les brasiers de tes illusions perdus,
Suit l'ombre noire de ton existence sans âme,
Demande toi si ceux pronant l'égalité,
Devant un système qui n'est que par ta volonté,
Demande toi si ils tiennent à s'intégrer,
Dans une société épuisée, vidée et annihilée,
Ne pleure pas la perte de ton innocence,
Pleure de ne l'avoir jamais méritée,
Face à tes fantômes en substance de ta conscience hantée,
Des années que tu te perd dans ta criminelle indulgence,
Après des temps de calme vient la vengeance des armes,
Par la puissance détenue, de ton pouvoir absolue,
Tu ne vois plus les innocents mais le feu des armes,
De ceux qui t'ont cru mais depuis c'est révolu,
Pour les enfants de cette patrie,
Le jour de gloire n'est pas venue,
Contre toute la tyrannie,
L'étendard sanglant a disparu,
Nation tant vantée,
Pour toi j'ai prié,
Mais je ne puis plus t'aimer,
Car la honte m'a aveuglée.
1. bardebrume le 28-09-2009 à 12:59:19 (site)
Bonjour,
je m'arrête pour la première fois sur ta page et je suis bluffé par la qualité de tes textes quotidiens !
Chapeau bas...
A bientôt !
Bardebrume.
S'ennivrer de la passion,
sans plus d'autre raison,
que l'amour en guise de prison,
S'embraser dans ta chaleur,
et se consummer sur ton coeur,
Emporté par une lame des profondeurs,
Pour se briser sur un rocher en forme de bonheur,
Ne pas se refuser et se laisser aimer,
Se répandre comme une rosée sur ta peau,
S'abandonner et se rêver pour l'éternité,
Je ne vois plus mon propre reflet dans l'eau.
Je t'aime.
1. Ocean le 27-09-2009 à 15:52:28
Magnifique déclaration mise en poème,vraiment très beau
Amitié
océan
Sur mes lèvres se colle comme un goût de colère,
Une odeur d'hiver s'échappe de mes veines,
Je me tiens droit à déborder de haine,
Et de ma peine surgissant une prière,
Entend ce chant d'honneur,
Que sur toi s'abatte mon malheur,
Te frappant de toute ma douleur,
A toi qui ne connaît que le déshonneur,
A toi je te ferai pleurer mon bonheur,
Pour toi se déchainera mon coeur,
J'en invoquerai la violence de tous nos heurts,
A toi de mesurer ma joie par tes pleurs,
Voyez poindre tout au bout,
Le jour ou, s'abattera mon courroux,
Je vous aime pour votre naïveté,
Au point de ne pas vous pardonner,
Jouisser de votre temps,
Déborder d'oppulence,
Mon père patience,
Ma mère méfiance,
M'ont laissé garder violence,
Il arrivera à temps,
Entre nous c'est éternel,
A la vie, à la mort,
Reconnais tu ton sort,
Sur le chemin de la chapelle ?
Soyez certain de souffrir, sans sourire,
Car je me ferai l'honneur d'être votre fossoyeur.
1. oups007 le 27-09-2009 à 11:54:09 (site)
Cliquez ici pour voir mon image
petit passage dans ton petit monde pour te faire de nos amitiés, doux dimanche et doux bisouxxxxxxxxxxx tendresse , la fée plume et les merveilleux lutins
Et moi où je me trouve,
Sans dogme, ni prêche,
C'est le chemin de la louve,
Une route qui nous rapproche,
D'un lieu dont je suis proche,
Respectueux et honorant la vertu,
De son histoire qui se perpétue,
Sur le chemin de la louve,
Je m'approche de la source,
La conscience que je me trouve,
Et de la force qui m'y pousse,
Tous les chemins m'y mènent,
Mais aucun ne m'en ramène,
Pourtant je n'ai envie d'y rester,
Qu'une journée après l'éternité,
J'ai suivi la louve sur la route et les pavés,
Parcourant le chemin menant à la félicité,
J'ai suivi la louve et n'ai pu la quitter,
Y perdant mon coeur et ne l'ai jamais retrouvé.
1. MERAVIGLIA le 02-10-2009 à 21:41:56 (site)
coucou ,merci de me faire partager tes textes ,suis pas trop douée pour écrire d aussi belles phrases mais j adore les lire
a bientot et bon week end
Permettez moi de vous dire combien vous êtes belle,
Vous êtes belle et celà viens du coeur,
Mais mon coeur me suggère de vous le dire avec pudeur,
Avec cette pudeur faisant d'un mot un plaisir éternel,
Mademoiselle vous êtes belle, avec cet air sensuel,
Sans artifices, ni matériel vous savez être naturelle,
De cette beauté vous avez ouvert mon coeur,
Avec la même magie dont s'épanouie une fleur,
Ne vous y trompez pas je m'affranchie du charnel,
C'est un devoir de vous le dire, voir essentiel,
Tant vous êtes belle le reste n'en est que plus laid,
Vous avez violé mon secret et ouvert une plaie,
Mais mourrir d'amour c'est d'avoir pu vous voir si belle.
De ce coeur fait de pierre,
De ses hommes faient de chair,
L'honorant depuis leurs pères,
Giabaturna a ses braves,
Dont les corps glissent sur les lames,
Dont l'honneur est forgé dans la lave,
Dont la peur n'atteint pas l'âme,
Dès lors, l'orgueil du Roi,
Brandissant sa foi,
Et foullant les pavés,
Parcourait sa mort dans ces travées,
Giabaturna en est fier,
De ces bras armés de glaives,
Unis par une même prière,
Celle renvoyant l'hostile à ses rêves,
Giabaturna n'est pas ailleurs,
Et ses hommes sont chacun,
Luttant pour l'honneur,
Combattant d'une seule main,
Giabaturna c'est ici,
Giabaturna c'est maintenant,
Dans les âmes, dans les têtes,
Dans les armes, dans les quêtes,
Giabaturna est chez moi,
Et ses hommes sont toi.
1. Mari le 21-09-2009 à 18:57:31
Un blog qui te ressemble, des textes qui te ressemblent.
Laisse ton esprit s'exprimer encore et encore!
A l'instant il a chuté,
Sur sa vie, son passé,
Pourtant heureux il a tout possédé,
Un roi déchu pourtant aguairi,
C'est la vie d'un homme,
L'histoire d'une follie,
De nos vies en sommes,
Il voulait briser un bout de lune,
Et voir le soleil tapis derrière,
Eclairer l'amour d'aucune,
Sans système érrigé en barrière,
Il s'enfonce dans la nuit dévastatrice,
Dans sa mélancolie dominatrice,
Tout au long de sa vie, de son passé,
Pourtant heureux il a tout possédé,
Il a aimé ce qu'il a compris,
Il a aimé ceux qu'il a compris,
Il a cru posséder ce qu'il a aimé,
Il a vu s'envoler ceux qu'il a aimé,
Le voilà à son automne,
Admirer ce qu'il a aimé,
Dans les échopes vitrifiées,
Possédées par ceux qu'il a aimé,
Il était aimé pour ce qu'il a été,
Pour ce qu'il a véhiculé,
A travers une tendance il a été évalué,
Déstandardisé il a été rejeté,
Liberté, déshumanisée, numérotée et tariffée,
Egalité, évaluée, sélectionnée et distribuée,
Fraternité...voir nos libertés
J'ai crucifié mes rêves sur la croix de mes envies,
C'est ainsi que tu oublie d'être en vie,
Tel l'ange déchu, n'es tu pas plus libre?
Car c'est d'être en vie qui me rend ivre,
J'ai crucifié mes rêves sur la croix de mes envies,
C'est Dieu qui crois en moi en nourissant mes espoirs,
Mon sablier est en instance et celà me ravie,
J'ai pris mon temps, attendu mon tour et attaqué le désespoir,
Sur son lit de mort je lui ai demandé s'il avait l'espoir,
Si cet espoir le rendait libre,
Ou le pouvoir du sable qui le sauverait du noir,
Une fois passé la dune, n'es tu pas plus libre?
C'est le pouvoir du sable qui te fait rêver,
Et sur l'hôtel de la vérité, d'espérer,
Qu'un jour ton rêve devienne réalité,
Avant que le pouvoir du sable ne soit brisé
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